Si les mers australes représentent les principales difficultés pour les skippers dans le parcours du Vendée Globe, l’océan Atlantique n’est pas en reste. Après avoir franchi le golfe de Gascogne, l’anticyclone des Açores et le pot au noir, les solitaires doivent affronter l’anticyclone de Sainte-Hélène. Et là, toute erreur de stratégie peut se payer cher. Très cher.
Relai courtois de l\'article . Merci Vendée Globe
Lire les articles de Vendée Globe