De l’Etraco qui repose dans le hangar de SEAir, il ne reste que la partie rigide, couverte de marques de mesures, inscrites à la craie. L’Embarcation de transport rapide pour commandos a été désossée, dépouillée de ses flotteurs, son moteur, sa console… Dans un atelier attenant, cette dernière a droit à un petit refit. « On est en train de reconfigurer » l’Etraco, explique Richard Forest, cofondateur de la start-up lorientaise. « On la transforme en bi-moteur. Une fois rééquipée, on va retourner en mer pour mesurer son comportement à l’état natif avec des capteurs.
Relai courtois de l\'article . Merci Skipper
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