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Eric Defert, 27 innovations autour du monde

Eric Defert poursuit sa croisade engagée il y a quelques mois pour convaincre des entreprises de le rejoindre dans son projet de participer au Vendée Globe 2016. D’un naturel généreux et passionné par la compétition et l’innovation, Eric aborde le sponsoring avec une approche très éco-responsable. Son projet pour le Vendée Globe 2016 ? Embarquer autour du monde des sponsors proches des valeurs qu’il porte : l’aventure humaine, la générosité, le partage et la transmission d’un message environnemental. Son projet propose d’embarquer à bord de son bateau 27 innovations, dans les domaines de la santé, de l’eau, de l’énergie, de la communication ou des nouveaux matériaux, tout cela en relation directe avec l’océan. Eric et son équipe se laissent jusqu’à la fin de cette année pour boucler le budget du projet et trouver les 27 innovations. 27, comme le nombre de skippers potentiels pour le prochain vendée Globe dont ce sera le 27ème aniversaire… Rejoignez-le sur ocean addict

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Armel Le Cléac’h explique les points forts de son nouveau bateau

Alors qu’il est en pleine préparation pour la Transat Jacques Vabre, Armel Le Cléac’h en sait déjà un peu plus sur son bateau. Sans surprise, le tout nouveau Banque Populaire VIII, lancé voilà moins de trois mois, est « typé grand large ». Comprenez : conçu pour aller très vite aux allures portantes….

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Seb Josse participera à The Transat

Sébastien Josse vient d’annoncer son intention de participer à The Transat, la Transat anglaise en solitaire qui partira en mai 2016 de Plymouth, à la barre de son nouvel Open 60 Edmond de Rothschild : “Ce sera ma troisième participation et le Team Gitana sera là pour défendre son titre, car le dernier vainqueur n’est autre que Gitana Eighty, avec à la barre Loïck Peyron. Ce sera juste six mois avant le départ du Vendée Globe, donc c’est un entraînement idéal à la fois pour le Mono60 Edmond de Rothschild et pour moi. Et c’est encore plus vrai quand on regarde le parcours d’est en ouest à travers l’Atlantique Nord qui ne favorise pas la dernière génération de bateaux avec des foils. C’est une épreuve très physique et ces 2400 milles en mode course, qui sollicitent à la fois le skipper et le bateau, seront une étape très importante dans notre préparation pour le Vendée Globe».

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