Pour reprendre leurs propres expressions, il fallait un « breton têtu » comme Hervé Guillou pour convaincre une « tête dure de calabrais » comme Giuseppe Bono. Et toute la force de persuasion des deux hommes pour faire valider leur projet d’alliance au niveau gouvernemental, alors même que les relations politiques entre la France et l’Italie s’étaient considérablement dégradées.
Relai courtois de l\'article . Merci Skipper
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