Pour les banquiers, les simples citoyens ou les compagnies aériennes, la perspective d’une sortie sans accord du Royaume-Uni de l’Union n’est certes pas réjouissante, mais au moins, à court terme, c’est-à-dire jusqu’à fin 2019, ils savent, d’ores et déjà, qu’ils peuvent compter sur le statu quo. Il n’en est pas encore de même pour les pêcheurs. Dans leurs « plans d’urgence », les législateurs européens doivent envisager tous les cas de figure, y compris le pire.
Relai courtois de l\'article . Merci Skipper
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