Même si tout n’est pas encore réglé, en particulier sur la répartition des parts dans la « moitié tricolore », les gouvernements français et italien sont parvenus à s’entendre sur la vente de STX France. Paris ne voulait pas que Fincantieri détienne plus de 50% des chantiers nazairiens, Rome exigeait d’en obtenir au moins 51% pour avoir un contrôle clair sur l’entreprise.
Relai courtois de l\'article . Merci Skipper
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