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Par Vendée Globe le samedi 5 janvier 2013
« Nuit mouvementée à bord d’ACCIONA. Je naviguais avec deux ris, à la tombée de la nuit, le vent est descendu à 15 noeuds. Je suis resté avec deux ris et le chariot cassé de la grand voile. J’ai donc dû de nuit, démonter le rail de la grand-voile pour tirer le chariot défectueux, en remettre un autre, et renvoyer les ris. Faire ça, c’était compliqué, et le problème majeur, c’était de le faire dans le noir….et ça me congelait les doigts. Ce ne sont pas des températures très basses, il fait 8 degrés, ce n’est pas beaucoup, mais dévisser chaque vis fut un calvaire. Je ne pouvais pas mettre de gants car d’une main je m’accrochais, de l’autre je dévissais. Tout ça, au-dessus de la bôme. Bon à présent, c’est bon, grand-voile haute, et je suis de nouveau à fond….«
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Par Vendée Globe le samedi 5 janvier 2013
Mail de Cali envoyé à 4h30 TU, soit 5h30 heure française ce matin :
Bonjour, je voulais vous faire profiter de ce superbe coucher de soleil que j’ai admiré à la porte de ma véranda, car dehors, c’est bien humide dites moi ! A propos de porte, je suis à quelques milles de la dernière porte ; il y a quatre ans, j’avais passé la dernière porte avec Dee (Caffari, NDLR) ; là, cette fois, juste devant, c’est l’international : Espagnol, Suisses (il y en a deux mon neveu !) et glaoush…. Après route vers le Cap Dur ! Si j’arrive à vous re-écrire, c’est que j’ai appliqué avec succès la crème du Doc (Jean-Yves Chauve), c’est pour rassurer ma maman !
Bon réveil a tous, et bon week-end Nous, on fait pas de pause…
Arnaud
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Par Vendée Globe le samedi 5 janvier 2013 5 105 milles séparent Alessandro di Benedetto (Team plastique) de François Gabart (Macif), premier de la flotte du Vendée Globe. Ils sont quatre dans l’Atlantique Sud, neuf dans le Pacifique. La course est donc bien diff&ea… […]
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