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La baisse des prix fragilise la filière pêche

Le soleil ne s’est pas encore levé sur Le Guilvinec. Sous la criée, ce jeudi matin, 40 tonnes de poisson sont à la vente, débarquées par trois chalutiers hauturiers. De la raie, de la cardine et de la lotte. « C’est un peu compliqué », souffle Grégory Pennarun, le responsable de la criée gérée par la chambre de commerce et d’industrie. Depuis la fermeture des restaurants, les espèces nobles ne trouvent plus de débouchés, notamment lorsqu’il s’agit de grosses pièces. Le turbot, le bar, le barbue, les rougets ou encore le Saint-Pierre ont vu leurs prix s’effondrer.

Relai courtois de l\'article . Merci Skipper
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La baisse des prix fragilise la filière pêche

Le soleil ne s’est pas encore levé sur Le Guilvinec. Sous la criée, ce jeudi matin, 40 tonnes de poisson sont à la vente, débarquées par trois chalutiers hauturiers. De la raie, de la cardine et de la lotte. « C’est un peu compliqué », souffle Grégory Pennarun, le responsable de la criée gérée par la chambre de commerce et d’industrie. Depuis la fermeture des restaurants, les espèces nobles ne trouvent plus de débouchés, notamment lorsqu’il s’agit de grosses pièces. Le turbot, le bar, le barbue, les rougets ou encore le Saint-Pierre ont vu leurs prix s’effondrer.

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